Voici un article trouvé sur le site Centre Clauderer sur la chute des cheveux.
Il peut servir à celles qui se demandent à quoi peuvent être dûes les chutes de cheveux.
Stress
et chute des cheveux chez la femme
En bref. Attention au stress, si vos cheveux ont tendance à tomber ! La santé de nos cheveux étant très sensible à celle de notre psychisme, le stress peut déclencher ou fortement accélérer le processus de leur chute. Une perte progressive et diffuse des cheveux est ainsi souvent soumise à l’interaction de 3 facteurs indissociables : un terrain prédisposé - une hormone - le stress
Sommaire
1• Les trois facteurs
2• La mémoire du cheveu
3• Les différentes sortes de stress et leur incidence sur le cheveu
4• Comment soigner ?
Les trois facteurs
Un terrain. La majorité des femmes stressées qui perdent leurs cheveux, ont un “terrain alopécique“ constitutionnel, à la base.
Descendance : l'enfant dont le capital génétique hérite de ce terrain, aura-t-il forcément tendance à perdre ses cheveux plus tard ? Pas sûr, car rien n’est simple en la matière... Un enfant peut être porteur de cette prédisposition sans que celle-ci ne se manifeste jamais : cela dépendra de l’ensemble de ses caractéristiques propres, acquises au cours de sa vie, qui favoriseront ou non le développement du trouble.
Une hormone.
Quand cette prédisposition se manifeste, elle porte sur les cellules de reproduction de certains cheveux, rendant leur racines anormalement réceptives à l’action négative des hormones androgènes.
Le stress.
Manière pour le psychisme d'évacuer sur l’organisme une agression extérieure qu’il ne peut gérer seul, le stress s’exprime par un enchaînement de réactions, via des messages hormonaux. L'alerte stress est d'abord transmise par le cerveau à la glande hypophyse, laquelle envoie le message, à son tour, aux glandes surrénales. Ces dernières libèrent alors une décharge d'hormones : adrénaline, cortisol et androgènes surrénaliens.
Pour la plupart des femmes, cette stimulation des androgènes n’a pas d’effet sur leur chevelure. Mais pour celles qui sont prédisposées aux troubles capillaires, le stress déclenche une chute des cheveux. De plus, chaque poussée de stress entraîne une contraction des vaisseaux sanguins au niveau des racines, laquelle contribue à l'affinement du cheveu. Le développement d'une chute des cheveux due au stress dépend donc pour beaucoup des périodes de tension nerveuse que la personne concernée traverse au cours de sa vie.
À noter
1) Chez les femmes prédisposées, le stress favorise également la séborrhée, les états pelliculaires et les démangeaisons du cuir chevelu.
2) En cas de pelade, le stress est un facteur déterminant dans le développement de la maladie.
La mémoire du cheveu
Cette interaction étroite entre les hormones androgènes et le psychisme, nous la vérifions tous les jours au Centre Clauderer. Les cheveux gardent la mémoire des stress successifs et nous pouvons repérer au microscope l'incidence de la vie affective, sur la kératine et la racine d’un cheveu. Véritable boite noire de notre organisme, nos cheveux ne sauraient mentir, ce sont les témoins de tous les problèmes psychologiques de sa propriétaire.
Et pour peu que les cheveux aient une certaine longueur, nous sommes en mesure de retracer avec les intéressées les moments difficiles qu'elles ont pu traverser. Certaines nous prêtent alors des dons de voyance, alors que notre seul mérite est de savoir “lire” ce que mémorise un cheveu.
kératine lisse
kératine irrégulière:stress ponctuel
Kératine" bosselée":stress constant
Les différentes sortes
de stress et leur incidence sur le cheveu
Trois différentes sortes de stress peuvent influencer la vie du cheveu :
Stress du quotidien
Il y a d'abord le stress déclenché par les problèmes de la vie quotidienne : soucis professionnels ou familiaux, surmenage, difficulté à gérer le rythme de la sociétémoderne, solitude, chômage, etc. Qu'il soit ponctuel ou chronique, ce type de stress renforce toujours l'influence nocive des androgènes sur les cuirs chevelus réceptifs à leur action.
Stress majeur
Un choc psychologique majeur, comme le décès d'un proche, un divorce, une opération chirurgicale lourde, un accident... peuvent provoquer une chute des cheveux massive (effluvium télogène), deux à quatre mois après l'événement. Sur une chevelure saine, cette chute est totalement réversible et les repousses sont aussi nombreuses et vigoureuses que les cheveux tombés. Sur une chevelure sensible aux androgènes, en revanche, les repousses se font souvent plus rares et plus fines et doivent impérativement être stimulées par un traitement spécial.
Stress de la chute
C'est le stress causé par la chute elle-même, il ne faut jamais le minimiser. En renvoyant à la femme concernée une image d'elle-même qu'elle se représente comme altérée, la perte des cheveux peut engendrer, en soi, des problèmes psychologiques importants. Peu de femmes acceptent en effet cette modification progressive de leur apparence morphologique. Dans notre culture, la chevelure est considérée comme un atout majeur de la séduction, et sa dégradation est souvent mal vécue, pouvant même conduire à de véritables états dépressifs. Le stress généré agit alors comme accélérateur du mécanisme, rendant encore plus réceptif aux androgènes un cuir chevelu fragile par nature. Un cercle vicieux s'établit rapidement : le stress augmente la chute, laquelle augmente à son tour le stress, qui augmente la chute… etc.
Comment soigner ?
Il n’existe pas de traitement passe-partout, chaque cas de chute des cheveux provoquée par le stress est complexe et doit faire l'objet d'un traitement et d'un suivi particulier. C'est pourquoi nous insistons tellement sur le diagnostic préliminaire des cheveux aved examen de leur racines et de leur kératine. Celui-ci tient compte du passé de notre consultante et de l’incidence du stress sur la détérioration de sa chevelure. Le traitement Clauderer est ensuite prescrit selon un triple objectif : stimulation des fonctions vitales du cheveu (traitement local), gestion du stress et suivi des résultats.
La stimulation des fonctions vitales du cheveu compense les effets négatifs des androgènes et du stress, sur les racines et la vie du cheveu :
- Action détoxicante, pour éliminer du cuir chevelu les toxines générées par le stress,
- Action vasodilatatrice, pour favoriser la circulation du sang vers les racines,
- Action minéralisante-cheveux, pour optimiser les repousses.
La gestion du stress comprend des recommandations précises sur :
- l'hygiène de vie au quotidien de notre consultante,
- son alimentation,
- un traitement oral de compléments vitaminiques naturels,
- des massages anti-stress du cuir chevelu (exclusifs et très efficaces).
Le suivi des résultats. Le Suivi Clauderer nous permet, par un système de contrôles réguliers, de prendre en charge le problème de nos clientes et de vérifier avec elles, étape par étape, les progrès obtenus. S'installe alors une relation de confiance véritable : c'est le meilleur remède pour faire disparaître le "stress de la chute".
Source: http://www.centre-clauderer.com/chute-cheveux/stress/
Il peut servir à celles qui se demandent à quoi peuvent être dûes les chutes de cheveux.
Stress
et chute des cheveux chez la femme
En bref. Attention au stress, si vos cheveux ont tendance à tomber ! La santé de nos cheveux étant très sensible à celle de notre psychisme, le stress peut déclencher ou fortement accélérer le processus de leur chute. Une perte progressive et diffuse des cheveux est ainsi souvent soumise à l’interaction de 3 facteurs indissociables : un terrain prédisposé - une hormone - le stress
Sommaire
1• Les trois facteurs
2• La mémoire du cheveu
3• Les différentes sortes de stress et leur incidence sur le cheveu
4• Comment soigner ?
Les trois facteurs
Un terrain. La majorité des femmes stressées qui perdent leurs cheveux, ont un “terrain alopécique“ constitutionnel, à la base.
Descendance : l'enfant dont le capital génétique hérite de ce terrain, aura-t-il forcément tendance à perdre ses cheveux plus tard ? Pas sûr, car rien n’est simple en la matière... Un enfant peut être porteur de cette prédisposition sans que celle-ci ne se manifeste jamais : cela dépendra de l’ensemble de ses caractéristiques propres, acquises au cours de sa vie, qui favoriseront ou non le développement du trouble.
Une hormone.
Quand cette prédisposition se manifeste, elle porte sur les cellules de reproduction de certains cheveux, rendant leur racines anormalement réceptives à l’action négative des hormones androgènes.
Le stress.
Manière pour le psychisme d'évacuer sur l’organisme une agression extérieure qu’il ne peut gérer seul, le stress s’exprime par un enchaînement de réactions, via des messages hormonaux. L'alerte stress est d'abord transmise par le cerveau à la glande hypophyse, laquelle envoie le message, à son tour, aux glandes surrénales. Ces dernières libèrent alors une décharge d'hormones : adrénaline, cortisol et androgènes surrénaliens.
Pour la plupart des femmes, cette stimulation des androgènes n’a pas d’effet sur leur chevelure. Mais pour celles qui sont prédisposées aux troubles capillaires, le stress déclenche une chute des cheveux. De plus, chaque poussée de stress entraîne une contraction des vaisseaux sanguins au niveau des racines, laquelle contribue à l'affinement du cheveu. Le développement d'une chute des cheveux due au stress dépend donc pour beaucoup des périodes de tension nerveuse que la personne concernée traverse au cours de sa vie.
À noter
1) Chez les femmes prédisposées, le stress favorise également la séborrhée, les états pelliculaires et les démangeaisons du cuir chevelu.
2) En cas de pelade, le stress est un facteur déterminant dans le développement de la maladie.
La mémoire du cheveu
Cette interaction étroite entre les hormones androgènes et le psychisme, nous la vérifions tous les jours au Centre Clauderer. Les cheveux gardent la mémoire des stress successifs et nous pouvons repérer au microscope l'incidence de la vie affective, sur la kératine et la racine d’un cheveu. Véritable boite noire de notre organisme, nos cheveux ne sauraient mentir, ce sont les témoins de tous les problèmes psychologiques de sa propriétaire.
Et pour peu que les cheveux aient une certaine longueur, nous sommes en mesure de retracer avec les intéressées les moments difficiles qu'elles ont pu traverser. Certaines nous prêtent alors des dons de voyance, alors que notre seul mérite est de savoir “lire” ce que mémorise un cheveu.
kératine lisse
kératine irrégulière:stress ponctuel
Kératine" bosselée":stress constant
Les différentes sortes
de stress et leur incidence sur le cheveu
Trois différentes sortes de stress peuvent influencer la vie du cheveu :
Stress du quotidien
Il y a d'abord le stress déclenché par les problèmes de la vie quotidienne : soucis professionnels ou familiaux, surmenage, difficulté à gérer le rythme de la sociétémoderne, solitude, chômage, etc. Qu'il soit ponctuel ou chronique, ce type de stress renforce toujours l'influence nocive des androgènes sur les cuirs chevelus réceptifs à leur action.
Stress majeur
Un choc psychologique majeur, comme le décès d'un proche, un divorce, une opération chirurgicale lourde, un accident... peuvent provoquer une chute des cheveux massive (effluvium télogène), deux à quatre mois après l'événement. Sur une chevelure saine, cette chute est totalement réversible et les repousses sont aussi nombreuses et vigoureuses que les cheveux tombés. Sur une chevelure sensible aux androgènes, en revanche, les repousses se font souvent plus rares et plus fines et doivent impérativement être stimulées par un traitement spécial.
Stress de la chute
C'est le stress causé par la chute elle-même, il ne faut jamais le minimiser. En renvoyant à la femme concernée une image d'elle-même qu'elle se représente comme altérée, la perte des cheveux peut engendrer, en soi, des problèmes psychologiques importants. Peu de femmes acceptent en effet cette modification progressive de leur apparence morphologique. Dans notre culture, la chevelure est considérée comme un atout majeur de la séduction, et sa dégradation est souvent mal vécue, pouvant même conduire à de véritables états dépressifs. Le stress généré agit alors comme accélérateur du mécanisme, rendant encore plus réceptif aux androgènes un cuir chevelu fragile par nature. Un cercle vicieux s'établit rapidement : le stress augmente la chute, laquelle augmente à son tour le stress, qui augmente la chute… etc.
Comment soigner ?
Il n’existe pas de traitement passe-partout, chaque cas de chute des cheveux provoquée par le stress est complexe et doit faire l'objet d'un traitement et d'un suivi particulier. C'est pourquoi nous insistons tellement sur le diagnostic préliminaire des cheveux aved examen de leur racines et de leur kératine. Celui-ci tient compte du passé de notre consultante et de l’incidence du stress sur la détérioration de sa chevelure. Le traitement Clauderer est ensuite prescrit selon un triple objectif : stimulation des fonctions vitales du cheveu (traitement local), gestion du stress et suivi des résultats.
La stimulation des fonctions vitales du cheveu compense les effets négatifs des androgènes et du stress, sur les racines et la vie du cheveu :
- Action détoxicante, pour éliminer du cuir chevelu les toxines générées par le stress,
- Action vasodilatatrice, pour favoriser la circulation du sang vers les racines,
- Action minéralisante-cheveux, pour optimiser les repousses.
La gestion du stress comprend des recommandations précises sur :
- l'hygiène de vie au quotidien de notre consultante,
- son alimentation,
- un traitement oral de compléments vitaminiques naturels,
- des massages anti-stress du cuir chevelu (exclusifs et très efficaces).
Le suivi des résultats. Le Suivi Clauderer nous permet, par un système de contrôles réguliers, de prendre en charge le problème de nos clientes et de vérifier avec elles, étape par étape, les progrès obtenus. S'installe alors une relation de confiance véritable : c'est le meilleur remède pour faire disparaître le "stress de la chute".
Source: http://www.centre-clauderer.com/chute-cheveux/stress/
Dernière édition par Kiskeya le Jeu 5 Nov - 12:09, édité 2 fois